Du verbe mis en jeu dans la conjugaison du positionnement du normalien de base (sujet) et  de celle de sa structure contenante, l'Ecole Normale (objet).

Je -sujet- suis le complément - d'un objet - sujet à caution. Je suggère - verbe - que le complément éventuellement d'objet -de quelque manière que ce soit - n'ait plus comme objectif qu'un désir d'objet et uniquement cela. Sinon, le complément - sujet - du sujet avant complément sera devenu complètement incontrôlable. Le sujet objectera alors sa fonction de maître des objets en leur rappelant que leur complétude n'est pas en soi un sujet de déshonneur et que la position du sujet n'est pas toujours facile à tenir. En effet, le sujet - mauvais- tend à être de plus en plus considéré comme un objet uniquement complément et parfois même comme complément et parfois même comme complément d'un autre complément d'un autre objet semblable (un clone).

Il apparaît maintenant que l'objet précédant le sujet procède donc d'une sujétion plus humaine que grammaticale - un sujet en or pour un complément d'étain, bizarrerie d'une alchimie douteuse - .

Le rejet de l'objet comme complément devient sujet de mécontentement généralisé : passer ainsi d'un sujet à l'autre, se demander si l'essence précède le gas-oil devient soudain hors sujet !

Pour revenir à ce dernier et tailler dans sa partie vive, séparons les éléments sujets à conflits. Le sujet  abordé ici, mérite tout autre considération en ces temps de remise en cause de la phrase ordinaire. Il y a trop de complications dans les sujets débattus. Les verbes font ce qu'ils peuvent, et les compléments d'objet se dissimulent de plus en plus sous des apparences sujettes à caution - directe ou indirecte, parfois financière - objet de conflits futurs sur le lieu (l'espace), le temps, la manière, l'accompagnement et … le nom.

L'objection est à son comble mais nous ne sommes pas encore sortis de l'Auberge !

Claude Poustis

(Promo 75-77)

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